La vente d'ITA Airways à Lufthansa va de l'avant
La compagnie aérienne allemande Lufthansa a récemment envisagé d’acheter la nouvelle compagnie aérienne italienne ITA Airways. Ils ont récemment manifesté leur intérêt pour la compagnie aérienne, cherchant apparemment à acheter 40%. ITA Airways a été fondée par le gouvernement italien après l’effondrement d’Alitalia et offre des possibilités intéressantes à Lufthansa.
Lufthansa possède de nombreuses compagnies aériennes à travers le continent européen. Ils possèdent actuellement Swiss, Austrian Airlines, Eurowings et bien d’autres. Maintenant, ils cherchent à se développer et ITA Airways semble être la solution idéale pour eux
Développements passionnants
Vendredi, le gouvernement italien a annoncé qu’elle avait entamé le processus de vente d’ITA Airways. C’est bon pour Lufthansa et la compagnie maritime MSC, qui souhaitent toutes deux acheter la compagnie aérienne.
Tout récemment, Lufthansa a recherché un 10-jours pendant lesquels ITA ne peut pas engager de pourparlers avec d’autres compagnies aériennes. C’est pour permettre au groupe de passer en revue les livres financiers d’ITA.
ITA Airways semble presque avoir besoin de cette propriété de Lufthansa. En Italie, les compagnies aériennes à bas prix comme easyJet, Ryanair et Wizz volent toutes vers des destinations populaires comme Rome. Nous savons tous que les clients ont tendance à choisir des compagnies aériennes à bas prix plutôt que des compagnies aériennes à service complet comme Lufthansa. Ce rachat par Lufthansa semble donc être une excellente option pour ITA. Après tout, ils ont signalé un déficit au cours de ses premiers mois d’exploitation.
ITA Airways a connu des premiers mois mouvementés. Photo : ITA Airways
Si tout se passe bien avec Lufthansa, celle-ci devrait formellement faire une offre à le gouvernement italien. L’ancien Premier ministre italien a rejeté une offre du groupe Air France-KLM d’achat de l’ancienne Alitalia en faillite, invoquant une « importance stratégique ». Ainsi, cette décision du nouveau gouvernement montre que l’Italie ne veut pas qu’il arrive la même chose à ITA qu’à Alitalia.